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La saison chaude approche à grands pas et, avec elle, les besoins des bovins d’élevage deviennent encore plus importants. L’observation et la gestion des vaches laitières est, dès les premiers instants de la vie, un processus de plus en plus délicat qui nécessite une mise à jour et un entretien continus pour s’assurer que le milieu environnant est accueillant et favorise une croissance saine et forte.

En hiver, les éleveurs ont souvent recours au système de ventilation naturelle, mais dans les périodes les plus chaudes, cette méthode de refroidissement peut ne pas être suffisante pour garantir le bien-être de leurs animaux. Voyons pourquoi dans cet article.

LA BONNE TEMPÉRATURE DANS L’ÉTABLE

Les températures qui pour nous peuvent se traduire par un climat doux, de 24 à 25°, pour les animaux laitiers, peuvent révéler les premières complications, en s’ajoutant progressivement à l’impact du rayonnement solaire, au niveau d’humidité relative (HR) et aux changements de température, se résumant à un stress thermique général.

Par conséquent, pour optimiser l’état de santé général, les températures moyennes des étables devront varier, en se distinguant selon les vaches en lactation et en tarissement. Parmi les différentes mesures, les premières nécessitent une neutralité thermique indicative comprise entre -5 et 21°, mais les vaches en tarissement méritent autant d’attention pour la période de stress à laquelle elles sont soumises, avec une température plus élevée, à titre indicatif, comprise entre 0 et 24°. Étant donné que les températures optimales ne peuvent jamais être considérées comme définitives par rapport à des facteurs tels que l’humidité et la vitesse de l’air, la moyenne de référence doit être d’environ 7 à 20° avec un taux d’humidité ne dépassant pas 40/50 %.

LA VENTILATION NATURELLE ET LES SYSTÈMES DE REFROIDISSEMENT

Dans la période plus froide, on a recours à des systèmes qui renforcent les méthodes de recirculation naturelle par des mouvements d’air du bas vers le haut, grâce aux ouvertures latérales et aux dômes supérieurs. En effet, la saison froide, quel que soit le territoire, repose souvent sur la ventilation naturelle, également appelée système « passif », grâce à la possibilité de recycler l’air sans utiliser aucune source d’énergie. Un procédé optimal pour réduire considérablement les coûts et la maintenance grâce à un effet dit « cheminée ».

Malgré cela, compte tenu de la tendance physiologique des vaches à dégager de la chaleur, lorsque les températures augmentent, les systèmes naturels peuvent ne pas être suffisants pour contrer l’alimentation en air chaud, d’où la nécessité d’un système de refroidissement et de ventilation forcée. Des outils de thermorégulation sont répartis entre les dortoirs et les aires d’alimentation accompagnés de douches dans les cornadis à rythme alterné pour guider un cycle de refroidissement et de séchage (voir lien) du pelage de la vache, en facilitant l’équilibrage de la température. Les destratificateurs (voir lien), à haut rendement énergétique et à faible consommation, permettent le recyclage et la redistribution constants de l’air, grâce au mouvement constant de six pales en aluminium.

Les nouvelles technologies permettent de combiner ces systèmes avec des unités de contrôle automatique qui, grâce à la détection de température/d’humidité, permettent le réglage automatique des cycles de bain-séchage.

En conclusion, la surveillance du microclimat dans une étable n’est qu’un des nombreux facteurs à prendre en considération, peut-être déjà dans la phase de conception de la structure, afin de parvenir à une amélioration significative du bien-être animal et à de meilleurs résultats en termes de qualité et de productivité.

La durabilité environnementale signifie recyclabilité et durabilité, et l’acier est durable à tous les effets ! En fait, c’est le matériau le plus recyclé au monde (environ 14 tonnes sont recyclées par seconde). L’Italie est le 1^er pays européen pour le recyclage des ferrailles avec une moyenne d’environ 20 millions de tonnes par an de matière refondue dans les aciéries nationales. 

Après avoir épuisé ses fonctions structurelles, 100% de l’acier mis au rebut est recyclé (sans perte de propriétés) et 99% des profilés (tant plans et que longs) sont récupérés car ils peuvent être facilement séparés des autres matériaux. L’acier contribue donc, directement et indirectement, à la conservation des ressources naturelles. 

Le cycle de vie d’un bâtiment en acier est considérablement plus long que celui d’un bâtiment traditionnel, compte tenu également de la possibilité de modifier son utilisation prévue sans impact environnemental important (pas de matériau à mettre en décharge et pas de consommation d’énergie pour l’élimination). 

Grâce aux technologies modernes de galvanisation et de peinture, l’acier conserve ses propriétés intactes pendant toute la durée de vie des œuvres réalisées, contribuant ainsi à prolonger la durée de vie du bâtiment. L’acier est durable car il permet également la construction de bâtiments écoénergétiques grâce à des systèmes de revêtement isolant haute performance. 

Pour optimiser toutes ses fonctionnalités, nous vous recommandons de toujours contacter un concepteur et constructeur expert, qui connaît les limites et les caractéristiques de performance et pourra par conséquent réaliser votre construction de façon correcte. 

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L’acier interprète la synthèse la plus actuelle de l’ingénierie et de l’architecture en créant des constructions qui se traduisent en investissements rentables au fil du temps. Grâce à la force de son expressivité et à ses caractéristiques d’élasticité et de malléabilité, le travail architectural et structurel devient un interprète de l’autre, mettant en valeur le projet et ses particularités. Des procédés tels que la galvanisation et la peinture ou l’utilisation de l’acier inoxydable garantissent un produit fini capable de conserver ses caractéristiques inchangées dans le temps. 

UNE STRUCTURE EN ACIER EST CONSIDÉRÉE comme un produit de la TECHNOLOGIE et d’INNOVATION 

La précision et le degré de précision utilisés dans la conception des structures en acier permettent des constructions à la fois légères et sûres. Chaque détail de construction a un objectif très spécifique au niveau structurel et est conçu de manière à combiner l’esthétique, la simplicité d’installation et la faisabilité économique.

Cela donne la possibilité de concevoir de très grands espaces intérieurs sans structures de support intermédiaires. La taille réduite des structures métalliques grâce à l’absence de piliers et de profilés plus minces, permet une exploitation maximale de la zone couverte, un avantage difficile à obtenir avec des matériaux traditionnels comme le béton armé. Enfin, grâce à sa flexibilité, une structure en acier permet des extensions, des élévations, des rénovations, des changements d’utilisation prévue et une adaptation des espaces intérieurs que l’on pourrait difficilement obtenir avec d’autres matériaux.

La fonctionnalité et la polyvalence d’utilisation font de l’acier un matériau compétitif quel que soit le type de construction envisagé. La compétitivité des solutions en acier est attestée par des éléments qui ont un impact très positif sur les coûts finaux de construction d’un ouvrage : tout d’abord la rapidité de construction, mais aussi des économies sur les travaux de fondation (les structures légères nécessitent des fondations moins importantes). 

POURQUOI CHOISIR UNE STRUCTURE EN ACIER AUSSI SUR DES OUVRAGES EXISTANTS ?

Les interventions sur un ouvrage existant constituent un choix de de plus en plus courant face à l’historicité du patrimoine des bâtiments et des infrastructures construits au cours des décennies de forte croissance économique et démographique du siècle dernier. Parmi ceux-ci, le problème de la sécurité sismique des bâtiments existants est prédominant car ils ont été construits selon des critères antisismiques obsolètes ou sans tenir compte de l’action sismique car au moment du projet leur zone n’était pas classée comme présentant un risque sismique. 

Aujourd’hui, il est bien connu que l’ensemble du territoire italien est soumis au risque sismique et les événements récents ont malheureusement mis en évidence la vulnérabilité sismique des bâtiments comme une urgence sociale et économique qui menace à la fois la vie des habitants et les activités productives. Pour ces raisons, la recherche de solutions efficaces et compétitives pour réduire la vulnérabilité des bâtiments existants aux tremblements de terre et leurs applications sur le terrain ont joué des rôles de centralité croissante dans le secteur de la construction. Dans ce contexte, l’acier joue sans aucun doute un rôle fondamental grâce aux particularités suivantes :

• la légèreté des éléments structurels, rendue possible par un rapport poids/résistance élevé, caractéristique qui, à son tour, permet de simplifier le transport et l’installation des structures et de minimiser les effets collatéraux dus à l’augmentation de la charge et des masses sur les structures existantes ;
• la taille réduite des éléments structurels, en tant que conséquence naturelle du rendement structurel élevé de l’acier, caractéristique qui permet de simplifier le remplacement et/ou l’intégration d’ouvrages existants avec des éléments de renforcement ;
• la valeur esthétique des éléments en acier, fondamentale lorsque la synergie structurelle entre les anciens et les nouveaux matériaux est combinée à la valeur architecturale qui découle du contraste entre des caractéristiques hétérogènes ;
• la rapidité de construction, une caractéristique toujours souhaitable, mais surtout lorsque l’intervention est urgente ou lorsqu’une interruption prolongée de l’utilisation de la construction n’est pas possible ;
• la réversibilité des interventions, caractéristique des structures en acier à base d’assemblages secs amovibles, particulièrement importante pour les interventions sur les bâtiments historiques.

Pour ces raisons, la menuiserie métallique est une solution qui se prête très bien aux interventions structurelles visant à réduire la vulnérabilité sismique des bâtiments existants en maçonnerie ou en béton armé.  

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À notre avis, quelles devraient être les caractéristiques d’une étable de renouvellement ?

Parlons de certains facteurs à prendre en compte lors de la conception de la construction ou de l’extension de l’étable de renouvellement, qui doivent évidemment être examinés au cas par cas, car comme nous voulons toujours le souligner, chaque ferme est unique comme chaque tête, et il est juste que le premier choix de l’éleveur soit celui qu’il juge le meilleur pour son troupeau. 

étable de renouvellement : les facteurs fondamentaux

Pour nous, certains des éléments clés sont toujours la ventilation et la luminosité, quels que soient le matériau de construction et la taille. Une étable la plus ouverte possible, inclinée et orientée dans le bon sens favorise en effet une bonne ventilation naturelle, du moins là où les conditions climatiques extérieures sont favorables. Une autre chose à ne pas négliger est la luminosité naturelle indirecte qui peut être obtenue avec quelques petites précautions dans la phase de conception de la stalle remontée pour les génisses, tout cela favorise un environnement plus sain et plus performant. 

Comment concevoir une étable de renouvellement

La planification interne doit être faite en tenant compte des différentes périodes de l’année et de leurs criticité relative. À notre avis, il vaut mieux envisager une répartition en différents box afin d’organiser une alimentation dédiée en fonction des différents âges et en fonction de la croissance, un accès libre au couloir de ravitaillement et de préférence un accès direct au paddock extérieur 24h/24. 

Donner à la génisse la possibilité de passer du temps à l’extérieur favorise sa physiologie naturelle, lui permettant de se déplacer librement sur un sol mou et non cimenté, renforce sa structure et favorise sa croissance saine, pour avoir à l’avenir une vache en meilleure santé. 

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De plus en plus d’attention est accordée au bien-être animal, à partir de la naissance du veau, il est donc important de connaître la réglementation en vigueur et de consolider la méthode acquise grâce à l’expérience sur le terrain, dans tous les cas il est important de consacrer la bonne attention et la bonne temps pour le nouveau-né qui sera alors l’avenir de l’écurie. Que vous choisissiez une structure dédiée type étable de veau ou la solution des box externes pour les veaux, il faut tenir compte de certaines informations génériques qui sont souvent demandées et qui peuvent être un point de départ de la mise en place d’une étable de veaux fonctionnelle. 

QUELLES SONT LES CARACTÉRISTIQUES QUE DOIT RESPECTER UNE ÉTABLE DE VEAUX?

L’une des premières caractéristiques concerne l’aire de repos qui doit toujours être sèche et confortable, bénéficier du bon éclairage et de la bonne ventilation, être à l’abri des courants d’air. Les différents box à veaux doivent permettre un mouvement agile de l’animal et favoriser le contacts visuels et olfactifs entre eux, sauf en cas de prescriptions vétérinaires différentes. Après les 8 premières semaines, les veaux doivent être élevés en groupes avec un minimum d’espaces et des paramètres bien définis en fonction de leur poids. La dernière caractéristique, mais très importante, que nous souhaitons souligner est que tous les matériaux de construction doivent être facilement lavables et désinfectables. Le nettoyage et l’assainissement sont un point fondamental pour avoir une étable de veaux performante. 

QUELLES DIMENSIONS DEVRAIT AVOIR UNE BOX POUR VEAUX ? 

Les dimensions varient en fonction du poids du veau, mais aussi selon les directives individuelles que requiert votre agence sanitaire locale. Ce que nous recommandons vivement est de mettre en place une structure dédiée et non un coin improvisé ou un espace normalement inutilisé. Dans le cas des veaux placés dans des box individuels, nous vous recommandons une surface d’au moins 1,5 m² pour les 30 premiers jours et d’environ 2 m² jusqu’à 60 jours. Ce sont évidemment des données indicatives qui peuvent également varier beaucoup en fonction du type de sevrage effectué. Ce qui est certain c’est que l’attention se porte de plus en plus sur le bien-être animal, même avant la naissance. Le fait d’accorder plus de plus de place à l’étable de veaux ou d’utiliser davantage d’espace permet d’obtenir des résultats plus que satisfaisants. 

Découvrez quelques-unes des structures que nous avons créées sur la page https://www.antoniniduea.it/fr/produits/etable-a-veaux/

Accueillir un nouveau-né est toujours l’un des plus beaux événements, même à l’étable. C’est pourquoi nous souhaitons consacrer quelques minutes au sujet de l’alimentation des veaux, en particulier dans leurs premiers jours de vie.

Ce qui est certain, c’est l’importance de lui administrer du colostrum de qualité dans les 6 premières heures de vie : cela permet une plus grande absorption des nutriments, très important pour la croissance et la digestion. C’est aussi le seul moyen qui permet le passage de l’immunité passive pour le veau, utile pour prévenir certaines des maladies les plus courantes chez les veaux, telles que la diarrhée et les maladies respiratoires.

Le colostrum, un facteur important dans l’alimentation des veaux 

Par colostrum, nous entendons le « lait » des deux premières traites. Plus sa qualité est élevée, plus grands en sont les bénéfices. C’est pourquoi il est important pour l’éleveur de stocker une réserve suffisante, à utiliser s’il n’en a pas au moment de la naissance. Donner du colostrum à votre veau est une phase délicate, donc une autre recommandation est de lui consacrer le temps nécessaire, en se rappelant que cela renforcera le système immunitaire et protégera donc le veau dans ses premières semaines de vie. Si vous avez fait un excellent travail, vous en verrez les résultats dans un avenir proche. 

L’ALIMENTATION DES VEAUX ET L’ORGANISATION DES ESPACES 

Outre l’alimentation des veaux, un autre facteur important à garder à l’esprit est la propreté des espaces dédiés à votre petit veau. En effet, on voit souvent des veaux placés de manière improvisée sur de petites surfaces de récupération ou désaffectées. Cela aggrave évidemment considérablement les conditions de croissance et augmente de façon exponentielle la charge bactérienne et par conséquent le développement d’infections parfois mortelles pour vos petits. Évaluer dans le temps les multiples solutions du marché pour créer une structure dédiée avec des espaces et une ventilation adéquats vous permet d’investir dans l’avenir de votre étable, à essayer !

Si vous voulez connaître toutes nos solutions pour les veaux, de la naissance au sevrage, visitez https://www.antoniniduea.it/fr/categorie-de-produit/box-veaux/ 

Nous entendons parler de litière compostée depuis un certain temps, mais cela devient dernièrement un sujet de plus en plus populaire! Il semble que ce système ait été importé de fermes israéliennes. Il y est en fait utilisé depuis plusieurs années et reste aujourd’hui la méthode la plus courante dans les fermes de vaches laitières. Que votre choix soit dicté par le désir d’encourager la durabilité environnementale ou le bien-être animal, rien n’est pas encore établi. L’unique facteur certain est que les conditions climatiques en Israël sont certainement plus favorables.

Oui, il semble que la clé pour faire fonctionner ce système est de garder la litière aussi sèche que possible, réduisant ainsi les problèmes de mammite. En revanche, un avantage très important, qui conduit souvent l’éleveur à adopter ce système, est l’amélioration marquée du bien-être du bovin en évitant les problèmes de culotte et en permettant un comportement plus naturel de la vache, en lui donnant la possibilité de se mouvoir et de se déplacer librement. L’amélioration du repos de l’animal est également remarquable, qui grâce à la litière compostée, parvient à adopter les positions naturelles et spontanées souhaitées.

Quelques caractéristiques de la litière compostée 

La première caractéristique de cette nouvelle approche de l’élevage est l’espace : il est nécessaire de considérer au moins 15 m² par tête en production, mais certains pensent que l’idéal est de 17 m². Le résultat se traduit par une augmentation des coûts de structure, partiellement compensée par l’absence de couchettes.

Le fond est constitué de fumier animal avec intégration de matière organique, comme de la sciure, des copeaux de bois, de la paille moulue, etc. qui doit être oxygéné au moins 1 à 2 fois par jour afin de favoriser la fermentation aérobie.

Lors de la phase de conception de la structure, la ventilation naturelle doit être privilégiée autant que possible, avec des structures hautes et ouvertes, prévoyant également un système de ventilation forcée. Le couloir d’alimentation devra alors être correctement redimensionné en insérant un système de nettoyage automatique. Celui-ci ne doit jamais manquer dans cette partie, car c’est le point où la vache produit le plus d’excréments. 

Quelques avantages de la litière compostée 

• amélioration du bien-être animal, grâce à une totale liberté de mouvement et un meilleur repos
• réduction significative des problèmes de culotte
• augmentation de la longévité de vos bovins (et donc des lactations)
• augmentation de la fertilité
• réduction de l’utilisation d’antibiotiques
• augmentation de la production de fourrage (grâce à une meilleure matière d’épandage)
• réduction des travaux extérieurs pour le stockage des eaux usées

En résumé, il y a plusieurs avantages qui peuvent être obtenus si votre litière compostée fonctionne bien, donc certains points restent fondamentaux dont les espaces, le degré d’humidité, le nombre d’animaux à gérer et non des moindres : la volonté et la persévérance de l’agriculteur à entreprendre cette méthode alternative. 

En toute saison et surtout en été, le bien-être du bétail passe par l’eau. Trop souvent, l’importance de l’eau potable chez la vache laitière est sous-estimée, élément pourtant fondamental pour assurer son bien-être. Pensez simplement que le lait est composé à plus de 80 % d’eau. 

Alors, quelles sont les choses importantes à ne pas sous-estimer lors de la conception d’une étable à vache laitières ? Non seulement la position et la taille des abreuvoirs, la bonne hauteur et profondeur sont essentiels, mais aussi la quantité et la qualité de l’eau fournie. Normalement, une vache laitière en production boit plus de 180  litres par jour, avec une moyenne de 10/20 litres par abreuvage. 

Pour faire une production de qualité, il faut une eau de qualité. Il est donc nécessaire de porter une attention particulière à sa composition et de multiples paramètres, tels que la dureté, le PH, la conductivité électrique, les nitrates, les nitrites, etc. 

L’ÉLEVAGE CHEZ LA VACHE LAITIÈRE : LA BONNE TEMPÉRATURE ET LES AVANTAGES

Un autre élément fondamental à prendre en compte lorsqu’il s’agit de l’abreuvage chez la vache laitière est la température d’alimentation en eau. Selon plusieurs études, la température de l’eau devrait idéalement être comprise entre 18 °C et 24 °C. Par conséquent, il est fondamental de préparer le système de recirculation dans la phase de conception du système hydraulique.

Savoir évaluer et appliquer tout cela dans une étable à vaches laitières présente d’innombrables avantages : 

– une consommation d’eau et de matière sèche plus élevée 

– efficacité ruminale accrue

– amélioration de l’efficacité digestive du rumen

– une plus grande fermentation des longues fibres

– augmentation du transit dans le rumen avec réabsorption considérable des acides gras volatils 

Vous souhaitez savoir comment optimiser et rendre l’abreuvement de vos animaux plus efficace? Découvrez notre gamme d’équipements sur: https://www.antoniniduea.it/fr/produits/abreuvoirs-bovins-et-buffles/